De ce silence
d’où je tais cris et angoisse
j’observe ces haies crispées
par l’abandon des oiseaux
qu’elles abritent en temps de paix
Et quand épuisé
par tant de langueur sans voix
mon corps il dort
je franchis ces couloirs épais
happée par tes maux
Alors je me réveille enfin
et je t’écris d’un crayon de soleil
juste parsemé d’ailes liantes
qu’il n’y a guère lieu de s’inquiéter
puisque nous nous aimons
et que d’élytres d’amours
continuent de battre
dans les veines de la terre
© Les faits Plumes

rassurant mais sage
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Je lis votre poème à haute voix au son d’une harpe, c’est parfait, merci, très bonne journée
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Bonjour Delphine très joli texte bisous bon après-midi MTH
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Je n’ai guère pu faire mieux Hélène…
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Oh vous m’enchantez Louise !!!! Je vous embrasse fort !
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Bonjour Marie. Je t’embrasse. Delphine
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c’est déjà chouette ! je suis en panne d’inspiration 😉
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🙂
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Bel oiseau composé d’oiseaux ! La vie, l’amour, des t’m qui me sont chair et son à diffuser, infuser et exposer. Belle journée Delphine !
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Tu ne m’en vois pas surprise Muriel… Des t’aimes chairs! Jolie journée à toi aussi Muriel 🏵🌼
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