A la plume chaque semaine, un mot, une photo, une vidéo, un morceau, un tableau, un gâteau, pour après le boulot, garder le goût du OoHhh!
David Quayola
Aujourd’hui, nous nous arrêtons sur David Quayola, un artiste que nous avons découvert cet été, à l’occasion du festival international des jardins au domaine de Chaumont-sur-Loire.
https://www.quayola.com/jardins/
Artiste reconnu de l’art numérique, David Quayola nous plonge avec « Jardins d’été » dans un fascinant univers impressionniste qui lie art et nature au moyen d’une palette somptueuse de couleurs titillant nos sens pour notre plus grand plaisir.
Un moment féérique à ne pas rater!
Agnès Obel
Avec Citizen of Glass qu’elle a publié à l’automne 2016, Agnes Obel est entrée dans une nouvelle ère. L’envie était alors flagrante pour la musicienne danoise installée à Berlin d’étoffer l’univers intime et si personnel qui se dégageait de ses deux précédents disques, le très épuré Philharmonics paru en 2010 et le plus dense Aventine, trois ans plus tard.
Un monde onirique contrôlé par une voix hors norme.
Nous en avons des frissons dans les plumes!
Variations sur un départ / Cie la main d’œuvres
Variations sur un départ est la preuve qu’il faut oser le théâtre comme expérience de la fraternité.
Ce spectacle nous parle de migration, de culture, de filiation, d’attachement à la terre, de déracinement, d’angoisse et surtout de courage! Oui de courage !
A travers la performance éblouissante de Katerini Antonakaki, Variations sur un départ nous parle d’une femme sur le départ pour une vie nouvelle, loin.. D’un exil… Mais que la route est longue et périlleuse avant que l’équilibre ne se trouve!
Bref, une histoire où notre Pénélope contemporaine refuse d’attendre et de subir et convertit l’épuisement et le découragement en reconquête de l’avenir.
Une performance puissante qui rend hommage au courage incommensurable de tous les exilés qu’ils soient politiques, économiques, écologiques, existentiels, artistiques…
Ainsi, quand vous en douterez, n’oubliez jamais quelle dose de courage et de force il faut pour survivre et se reconstruire après un déracinement.
Une façon de fermer le bec à tous les intolérants déplumés de leur humanité qui n’ont comme supériorité que leur faiblesse!
Courage – le mot qui nous manque
Courage que tu nous manques. De grand mot tu semble être devenu un gros mot. Tel l’optimisme, tu t’en es allé en nous laissant seuls, soumis à nous même. Que de mélancolie! On vit sur le courage des autres, sur celui de ceux qui jadis ont osé. On envie les super-héros mais Superman est épuisé de voler à notre secours. Il veut bruler sa cape!
Et si en te glissant de nouveau dans nos esprits, tu parvenais, à toi seul, à nous aider à convertir le découragement en reconquête de l’avenir. Reviens-nous, il est grand temps que nous surmontions ce désarroi qui nous colle à la peau. Nous avons perdu le courage comme nous perdons des lunettes. Nous nous sommes habitués à mal regarder le monde et à ne plus nous regarder marcher.
Allez s’il te plait, reviens! Ne te fais pas prier cela a assez duré! Promis on invitera Olivia Ruiz pour qu’elle te fasse des crêpes aux champignons!
L’art sociologique – Hervé Fischer

Dans les années 1970, Hervé Fischer manifeste son opposition à la culture élitiste qui anime le milieu de l’art. Pour apporter sa pierre à l’édifice de ce qu’il appelle le « décrassage culturel », il détruit ses propres œuvres et partage ce geste au sein d’une démarche collective nommé « déchirure ». Hervé Fischer inscrit son acte et ses réflexions dans le cadre d’un art qu’il appelle sociologique et dont il est l’un des initiateurs majeurs. Cette perspective lui permet d’explorer les réalités et imaginaires sociaux. En parallèle il enseigne la sociologie de la culture et de la communication à la Sorbonne. Ses pratiques artistiques sont toujours en relation avec son travail théorique.
Une petite partie de ses œuvres a été exposée au Centre Pompidou du 15 juin au 11 septembre 2017.
Vous pouvez le découvrir ici: http://www.hervefischer.com/
Nous en restons plumes bée!
Littérature francophone – Alain Mabanckou
Dans Mémoires de porc-épic, Alain Mabanckou revisite des lieux fondateurs de la littérature et de la culture africaines avec amour, humour et dérision. Parodiant librement une légende populaire selon laquelle chaque être humain possède son double animal, il nous livre dans ce superbe roman l’histoire d’un petit porc-épic, chargé par son alter ego humain d’accomplir une série de meurtres rocambolesques… Malheur aux villageois sur la route de Kibandi…
« donc je ne suis qu’un animal, un animal de rien du tout, les hommes diraient une bête sauvage comme si on ne comptait pas de plus bêtes et de plus sauvages que nous dans leur espèce, pour eux je ne suis qu’un porc-épic, et puisqu’ils ne se fient qu’à ce qu’ils voient, ils déduiraient que je n’ai rien de particulier, que j’appartiens au rang des mammifères munis de longs piquants, ils ajouteraient que je suis incapable de courir aussi vite qu’un chien de chasse, que la paresse m’astreint à ne pas vivre loin de l’endroit où je me nourris
à vrai dire, je n’ai rien à envier aux hommes, je me moque de leur prétendue intelligence puisque j’ai moi-même été pendant longtemps le double de l’homme… »
Hééé, ça pique, ça passe à travers les plumes !
Sheila Hicks
Sheila Hicks, vous ne la connaissez pas ? C’est ce que l’on appelle une artiste textile, une artiste du textile, une artiste qui manie avec art la matière textile.
A 83 ans, elle vous enturbine, vous crochète et vous entricote dans une étrange forêt pleine de lianes de couleurs vives montées en colonnes jusqu’au plafond. Elle entrelace leurs racines au sol ou les fait danser sur les murs.
C’est beau, poétique, captivant et ensorcelant….
Vous n’avez pas eu la chance de la voir exposer. Elle expose en ce moment jusqu’à la fin avril au Centre Pompidou.
Sinon j’ai pour ma part eu la grande chance de la voir cet été à l’occasion de la 9e saison d’art contemporain qui s’est tenue au domaine de Chaumont-Sur-Loire (Oui encore… Rappelez vous David Quayola…). Trois photos en avant goût sur un bandeau réalisé par mon grand duc.

Sammy Slabbinck
Sammy Slabbincke est un artiste qui aime dire de lui qu’il est « un animal créatif qui essaie de chier tous les jours des pierres précieuses ». Sammy Slabbincke est un artiste que j’ai découvert très récemment et dont je dirais tout simplement qui m’émerveille tout autant qu’il me bouscule. C’est toute sa force ! C’est en tout cas ce que j’apprécie chez un artiste et chez lui. J’aime qu’il m’interpelle, me préoccupe, me sorte de ma zone de confort, me fasse réfléchir ou tout simplement me sorte de mon « inconscience ». J’aime aussi chez lui qu’il me fasse rêver, qu’il élargisse le périmètre de mon espace imaginaire et me fasse quitter la terre ferme. C’est ce que j’appelle l’effet trampoline et qui caractérise la relation que je tisse avec un artiste que j’apprécie. J’ai donc choisi de partager cette admiration que j’ai pour le travail de Sammy Slabbinck et espère vous faire connaitre ses œuvres, si vous ne les connaissez pas déjà…
Alors que dire, Sammy Slabbinck est belge, il fait des découpages et des collages. Il dispose et recompose. Il aime les vieux magazines et vieux catalogues publicitaires. Il aime nous faire voyager dans son monde imaginaire empli de surréalisme, prompt à des degrés de compréhension multiples. Ah oui j’oubliais : ce qu’il fait, ce n’est pas un jeu d’enfants !
Si vous souhaitez en découvrir davantage, n’hésitez pas à suivre ces quelques liens :
https://www.artistup.fr/articles/994/l-univers-surrealiste-de-sammy-slabbinck
http://sammyslabbinck.tumblr.com/about
Les occupations poétiques du clown TOM- Cie Eklozion –
« J’ai mélangé toutes mes pages … Ce n’est plus une bibliothèque ici c’est une cirque ! ».
Lorsqu’il passe l’après-midi à la bibliothèque, le clown Tom virevolte et vaque à des occupations poétiques. Il balaie, ramasse quelques papiers, invente des jeux et (dé)range des livres. Comme il ne sait pas lire , il ne peut s’empêcher de détourner la fonction première de ces objets sérieux, emberlificotant les histoires qu’ils racontent lorsqu’il demande à tous ceux qu’il croise de tout lui raconter ! Sans compter que tous ces livres empilés , ça lui donne des idées d’acrobatie…
Clown poétique proche des personnages de Tati ou Charlot , Tom investit avec fantaisie et humour les lieux du livre afin que chacun puisse d’autant mieux les habiter.
https://www.facebook.com/AssociationEklozion/
La mousse tache ! – 7 avril 2018
Aujourd’hui une recette résultant d’un mot de l’espace. [Cf. défi @-mot-sphère n°1 sur la page à la loupe].
- un gâteau de votre choix de 18 à 24cm de diamètre (il n’a pas besoin d’être très haut)
- le gabarit gâteau moustache de la taille de votre gâteau
- 150g de chocolat
- 100g de crème liquide entière
- 20g de beurre doux
- Faites fondre le chocolat aux micro-ondes jusqu’à ce qu’il soit bien fondu et réchauffez la crème environ 20 secondes aux micro-ondes. Réalisez une émulsion en trois fois : ajoutez un tiers de la crème au chocolat fondu, mélangez énergiquement à l’aide d’une maryse jusqu’à l’obtention d’un noyau lisse et brillant. Faites de même avec les deux tiers de crème restant. Ajoutez le beurre coupé en morceau et laissez fondre entièrement.
- Recouvrez la ganache de film alimentaire et laissez à température ambiante jusqu’à ce qu’elle prenne assez pour qu’on puisse l’étaler (s’il fait très chaud, conservez-la au réfrigérateur et sortez-la 10mn avant de l’utiliser).
- Imprimez un dessin de rond yin yang du diamètre de votre gâteau. Découpez un des morceaux (le yin ou le yang au choix, lol) et utilisez-le comme guide pour couper votre gâteau en 2 parties égales. Vous obtenez 2 morceaux de moustache que vous pouvez légèrement retailler.
- Retournez un des 2 morceaux de gâteau et déposez-les l’un en face de l’autre sur un grand plat de service ou une planche. Retaillez légèrement au point de contact des 2 moustaches pour qu’elles s’épousent bien. Enfin égalisez la hauteur des 2 morceaux avec un couteau pour obtenir une surface plane.
- Recouvrez le gâteau d’une très fine couche de ganache pour bien bloquer toutes les miettes et laissez durcir 10mn au congélateur. Pendant ce temps, vous pouvez former un nœud papillon avec 2 serviettes en papier et une agrafeuse.
- Au bout de 10mn, recouvrez le gâteau d’une 2ème couche de ganache plus épaisse. Utilisez une fourchette pour tracer les « poils » de la moustache. Conservez au frais jusqu’au moment de servir.
Jean Echenoz
Narration jubilatoire, sur fond d’univers désenchanté, l’œuvre de Jean Echenoz est une maitrise, par le jeu, des démons de l’ennui. A travers 17 ouvrages, l’auteur a exploré différents genres littéraires (roman d’aventure, roman d’espionnage etc). Il va jusqu’à les détourner pour construire avec le lecteur une complicité qui se révèle également manipulation, dérivation et renversement. Jean Echenoz est plus qu’un écrivain. Il a crée autour de lui un univers reposant sur le foisonnement de l’écriture et la vivacité du romanesque qui donne à son ouvre l’allure d’un mouvement perpétuel.
- © Les faits Plumes
Virginia Benedicto
Enthousiaste et spontanée, Virginia Benedicto est une artiste qui offre avec générosité ses couleurs et sa bonne humeur à travers ses œuvres. Née en 1971 à Madrid, ses études dans le domaine de la publicité puis de l’art, sa culture et ses diverses expériences, l’ont tout naturellement amenée à se concentrer sur la création artistique, faisant de sa passion, son métier. Ses peintures et sculptures qui expriment toujours gaieté et joie de vivre sont baignées de multiples influences, majoritairement latines. Aussi, sous ses pinceaux et ses mains, naissent et se dessinent, des formes et des courbes, rondes et voluptueuses. Les thématiques de prédilection de Virginia Benedicto sont la pomme et l’amour à travers lesquels elle veut tout simplement offrir une vision optimiste de la vie. Un regard frais et pétillant qui vous invite à venir croquer avec gourmandise toutes ses créations originales (artsper).
ça déplume!
http://www.virginia-benedicto.com/
David Gilmour
Nul besoin de prose accompagnante, il suffit d’écouter pour se laisser caresser les plumes
Une année : 1948
Le 10 décembre 1948, la 3e Assemblée générale des Nations-Unies adopte à Chaillot, la Déclaration Universelle des droits de l’homme. En pleine Guerre Froide et devant l’opposition croissante au colonialisme, 48 États membres votent les 30 articles proclamant les droits humains fondamentaux. L’Arabie Saoudite, l’Afrique du Sud et l’Union soviétique, quant à elles s’abstiennent. Il faudra alors deux décennies aux Nations-Unies pour s’accorder sur les mécanismes d’application de ce texte.
Un détail ? Certainement pas quand on sait que ce sont justement ces mécanismes et les procédures afférentes qui concrétisent l’effectivité du droit …
Ces trente articles abordent les droits civils, culturels, économiques, politiques et sociaux dont nous devons tous bénéficier.
Elle s’adresse à l’ensemble de la communauté humaine et fait partie de la Charte internationale des droits de l’Homme qui inclut le Pacte international relatif aux droits civils et politiques adoptés en 1966 par l’Assemblée générale des Nations-Unies.
» The pure necessity «
» The pure necessity « est une œuvre conduite par l’artiste belge David Claerbout. Dans cette œuvre se rencontrent et se confrontent les propriétés propres à la photographie et au cinéma. Réalisé en 2016, » The pure necessity » consiste en une reprise d’un grand classique bien connu de tous et sorti des studios Disney » Le Livre de la jungle » sorti, rappelons le en 1967. Oui mais à la différence que prés que dans l’œuvre de David Claerbout l’œuvre qui a fait rêver adultes et enfants est débarrassée de toute narration et de toutes références anthropomorphiques…
Double face
Dans son projet « Buffalo Bill Gates », le Suédois Kalle Mattsson propose des doubles « mashup » de personnalités en doublant les visages mais aussi les noms des célébrités dans des montages photographiques humoristiques qui se déclinent au format livre, t-shirt, sac et poster.
Pour en voir davantage c’est d’abord par ici:
Et puis par là:
http://www.studiokallemattsson.com/Buffalo-Bill-Gates
http://buffalobillgates.tumblr.com/
Clarissa Pinkola Estés
Chaque femme porte en elle une force naturelle riche de dons créateurs, de bons instincts et d’un savoir immémorial.
Chaque femme a en elle la Femme Sauvage. Mais la Femme Sauvage, comme la nature sauvage, comme l’animal sauvage, est victime de la civilisation.
La société, la culture la traquent, la capturent, la musellent, afin qu’elle entre dans le moule réducteur des rôles qui lui sont assignés et ne puisse entendre la voix généreuse issue de son âme profonde.
Pourtant, si éloignées que nous soyons de la Femme Sauvage, notre nature instinctuelle, nous sentons sa présence. Nous la rencontrons dans nos rêves, dans notre psyché. Nous entendons son appel.
C’est à nous d’y répondre, de retourner vers elle dont nous avons, au fond de nous-mêmes, tant envie et tant besoin.
De par sa double tradition de psychanalyste et de conteuse, Clarissa Pinkola Estés nous aide à entreprendre la démarche grâce à cet ouvrage unique, parcouru par le souffle d’une immense générosité.
A travers les » fouilles psycho-archéologiques » des ruines de l’inconscient féminin qu’elle effectue depuis plus de vingt ans, elle nous montre la route en faisant appel aux mythes universels et aux contes de toutes les cultures, de la Vierge Marie à Vénus, de Barbe-Bleue à la Petite Marchande d’allumettes.
La femme qui récupère sa nature sauvage est comme les loups. Elle court, danse, hurle avec eux. Elle est débordante de vitalité, de créativité, bien dans son corps, vibrante d’âme, donneuse de vie (source: CG Jung.net).
Un somptueux extrait ….
L’art de cuisiner
La cuisine, est-il nécessaire de le rappeler, est un acte culturel.
Les travaux fondateurs d’anthropologie et d’ethnologie du début du xxe siècle, de Marcel Mauss à Claude Levi-Strauss, ont mis en évidence cette dimension socioculturelle et symbolique de l’acte culinaire, un des lieux où s’enregistrent les mouvements profonds d’une société. La cuisine, faut-il y insister, n’est pas la gastronomie. Elle est une des composantes, centrale certainement, de ce vaste champ qui recouvre un ensemble d’opérations allant de la production des matières premières aux rites de consommation. La cuisine peut ainsi se définir comme l’acte de transformation des aliments en vue de leur consommation.
Elle consiste à assembler les produits, à maîtriser les assaisonnements et les cuissons, non seulement pour satisfaire le besoin physiologique qu’est la faim, mais aussi pour entretenir l’appétit, l’homme étant doté d’un organe, le goût, qui l’incite, à manger au delà du nécessaire pour jouir de sensations nouvelles. Et, pour célébrer les occasions festives, la cuisine se charge de caractères particuliers, visant à la rendre particulièrement belle à voir et bonne à manger.
Dans tous les cas, la cuisine renvoie à des corpus de savoir et de savoir-faire, à des gestes, à des modes opératoires ; elle a ses règles, ses normes, ses valeurs qui la constituent comme une discipline, longtemps transmise par l’apprentissage, puis enseignée, depuis la fin du xixe siècle dans des écoles professionnelles. Elle renvoie ici à des modèles implicites, des canons qui s’inscrivent dans un système de pensée et d’appréciation commun au groupe, la belle manière de faire le bon goût.
Comme forme de production culturelle, la cuisine a pu, au cours de son histoire, être ainsi revendiquée comme un savoir, une science, une tekhnè, un art de vivre, mais aussi comme un « art esthétique », au même titre que les arts consacrés que sont l’architecture, la peinture ou la musique.
Développant une esthétique visuelle et une esthétique des saveurs qui stimulent l’ensemble des sens dont se compose le goût, la cuisine est devenue objet de pensée
savante, de discours théoriques, de jugements critiques. Elle fait l’objet depuis le xviie siècle d’un nombre inflationniste de publications. Passant du statut de « domestique » au statut d’« artiste », qui signe des recettes et des livres, le cuisinier a progressivement accédé au statut de créateur d’un acte artistique éphémère qui fait exception, jusqu’à devenir une « star ». Toutefois, qualifiée d’« art » à travers les images produites sur elle, mais aussi à travers les images que les cuisiniers et les grands chefs produisent d’eux-mêmes, la cuisine ne bénéficie pas des mêmes reconnaissances institutionnelles que les arts constitués.
Elle demeure souvent absente des politiques de valorisations culturelles, une absence dont l’explication tient peut-être à la référence au « bas corporel » dont elle cristalliserait l’expression.
Vous souhaitez poursuivre cette appréhension de l’art de cuisiner ? Je vous conseille la lecture de ce fameux article qu’est L’Artification du culinaire publié par
Le mime
Mode d’expression connu depuis vingt-cinq siècles, le mime est aux sources mêmes des arts de la scène. L’imitation primitive de la nature, de la chasse, de la guerre ou de l’amour –geste d’apprentissage ou de transmission– est devenue un rituel puis un art à part entière dès les sociétés de l’ancienne Égypte, de l’Inde, de la Grèce antique, en Afrique, en Asie…
Dans la Rome antique, la pantomime latine, issue de l’héritage grec, de l’introduction du mime étrusque et de la tragédie latine, est née comme un genre autonome, avec ses vedettes et son théâtre fréquenté par des milliers de spectateurs.
Au Moyen Âge, cette forme trop licencieuse pour le corps et l’esprit disparaît officiellement des tréteaux français, même si le mime continue à vivre chez les histrions, les jongleurs, les comédiens espagnols ou italiens.
Au XVIII siècle, avec l’interdiction de la parole destinée à protéger les privilèges des troupes permanentes face aux acteurs de la foire, le mime renaît sous la forme de la pantomime-arlequinade. C’est en introduisant l’action par la pantomime que Noverre, chorégraphe et maître de ballet, réforme le ballet. Sous le terme de pantomime, Diderot rassemble alors tout ce qui relève du langage physique de l’acteur. La parole perd progressivement son statut de vecteur unique de l’expression dramatique au profit de l’expression par le corps.
À l’époque romantique, Arlequin s’efface au profit de Pierrot, dont le visage «enfariné» et le costume immaculé deviennent emblématiques de la pantomime blanche. Créé au théâtre des Funambules par Jean-Gaspard Deburau, ce personnage associé dans notre imaginaire à un âge d’or du mime est perpétué jusqu’à la fin du siècle par son fils Charles, puis ses successeurs Paul Legrand et Louis Rouffe. Mais le succès de Pierrot cache la progressive désaffection pour le genre, malgré une tentative de renouveau lancée par le Cercle funambulesque et les mimes Séverin et Lucien Gothi vers 1880. Si cette pantomime blanche tombe dans l’oubli, l’art mimique vit sur les planches des théâtres, des ballets, des music-halls, ou sur la piste des cirques, puis s’épanouit dans les studios du cinéma muet.
Cette histoire à éclipses du mime dans les théâtres français connaît un spectaculaire rebondissement au xxe siècle, grâce à l’importance et à la diversité des formes que prend le langage du corps sur la scène. Une réflexion commence alors pour définir la singularité de ce théâtre gestuel parmi la diversité des propositions scéniques, réconcilier tradition et création et défendre son identité (Joëlle Garcia).
Stian Hole – Littérature jeunesse
Né en 1969 à Tønsberg, Stian Hole est diplômé de l’École nationale des arts graphiques et du design d’Oslo. Auteur de littérature jeunesse, il a composé une trilogie autour d’un personnage, Garmann, inspiré par son fils aîné. Lauréat du prix du Meilleur Album à la Foire Internationale de Bologne, l’artiste place les liens intergénérationnels au cœur de ses livres. Il aborde avec poésie et humour les tracas des enfants, grâce à des illustrations à mi-chemin entre la photographie et le dessin. Chacune de ses images est le résultat d’un immense travail de photomontage, d’un jeu de superposition de couches ou de calques, Stian Hole utilisant avec brio les techniques numériques. Peur de la vieillesse et de la mort, questions d’amour et d’amitié, rentrée scolaire qui donne « des papillons noirs dans le ventre », ces trois albums aux couleurs étonnantes marquent le lecteur par leur très forte identité graphique, la fraîcheur et l’innocence du récit. À l’occasion de la Comédie du Livre, l’auteur présentera au public montpelliérain Le ciel d’Anna, son tout nouveau livre, cette fois-ci centré sur les relations entre un père et sa fille.
Zeren Badar – Dadaïsme
D’origine Turque, Zeren Badar vit à New York. Son principe: « Prenez un objet. Faites-en quelque chose. Faites-en quelque chose d’autre. » Il faut bien reconnaître que Zeren fait bien quelque chose d’autres de ces toiles historiques imprimées à bas prix, de ces portraits au classicisme droit sur lesquels il peint et colle de la nourriture et des objets avant de les photographier. Zeren Badar se revendique volontiers du mouvement Dada et de son extravagance notoire mettant en dérision les traditions. On y voit aussi une certaine forme de baroque luxuriant hérité de l’art Ottoman tout autant qu’un certain art du Souk, entre formes et couleurs. Dans tous les cas, un travail rafraichissant qui nous dépayse !
Paname en balade …. Les Parimaux
Prêts pour partir à la découverte des Parimaux?
C’est parti!
Les plus anciens animaux de Paris ont quasiment 900 ans ! Ils ornent les monuments les plus majestueux de la capitale et n’ont rien perdu de leur féerie.
Ainsi , tout promeneur un peu attentif et curieux peut admirer des lions ailés, des oiseaux fantastiques, des hybrides à tête humaine ou l’inverse. A ce moment là, le bucolique et les caricatures, ne nous faisaient pas peur. Vous ne les voyez pas? Mais si, levez la tête, regardez l’entrée de l’église Saint-Germain-Des-Prés. Et sur les plus anciens chapiteaux de Saint Pierre de Montmartre, admirez cet homme à tête de cochon (il nous fait d’ailleurs penser à bien du monde celui-là). Ici, contemplez la tête d’âne et de bœuf sur le portail sud de Notre-Dame.
Quant aux gargouilles, savez-vous que ces petits êtres qui nous sont si familiers sont apparus en France au 13e siècle en guise de décoration des chéneaux afin de rejeter les eaux de pluie le plus loin possible des constructions inférieures. Dés le début, elles prirent l’allure d’animaux fantastiques. Observez Notre-Dame…
Au square de Cluny, le promeneur peut reconnaitre le lion de Saint Marc, l’aigle de Saint Jean et le taureau de Saint Luc. Mais le christianisme ne détient toutefois pas le monopole du symbolisme animal. Toute les religions lui ont réservé une place privilégiée. Mais alors, disons le en passant, on ne saurait pas si différents au final, vous ne croyez pas ? De toute façon, on ne peut pas le nier, dés que l’homme a su dessiner ou modeler des formes, il s’est mis à représenter des animaux comme en témoignent les peintures préhistoriques.
Huit chevaux, quatre dauphins et huit tortues prennent les eaux en haut de l’avenue de l’Observatoire. Ils ornent la fontaine des Quatre parties du monde.
Les parimaux aquatiques sont très présents: baleine du square Saint-Éloi, pieuvre, homard, étoile de mer, crabe de l’institut océanographique, poissons du viaduc d’Austerlitz, dauphins du Pont-Neuf, grenouille du bassin nord du Grand-Palais, crapaud de la rue Puvis de Chavannes… Il y en a partout!
L’Homme aussi est un parimaux. Il prend la forme d’un hybride, d’un Palafof. Le Centaure, cet habitant monstrueux des forêts qui se nourrit de chair crue et dont le sport favori consiste à enlever les femmes pour les violer, symbolise la bête en l’homme. Vous cherchez un Centaure, en voilà un au carrefour de la Croix-Rouge.
Pégase, le cheval ailé titille notre imagination et l’élève jusqu’au sublime.
La licorne est dit-on revenu à la mode. Elles ont toujours été à la mode à Paris. Vous voulez être dans le coup, allez les admirer dans les rues de Paris. Vous ne les porterez plus seulement au dessus de votre cœur mais dans votre cœur.
Et puis on peut côtoyer les cerfs du jardin du Luxembourg, la gazelle du square Henry Bataille, le Kangourou du parvis du musée d’Orsay et même les écureuils de l’avenue de Versailles. Oh il y a même des rats, rue Fortuny. Il y en a même un qui se bat avec un chat rue du Mont-Cenis….
Oh je viens de perdre une plume…. C’est à cause du cocorico du coq de la Bibliothèque nationale… Je ne m’y attendais pas….
Très bel article que « Variations sur un départ » Merci!
J’aimeAimé par 1 personne
Je suis très contente qu’il vous plaise. J’ai adoré la performance de l’artiste. J’ai été inspirée par la profondeur de sa prestation et ceci sans aucun artifice…Elle, des mots, l’envie de donner/de secouer et un décor fait main…
J’aimeJ’aime
J’aimeAimé par 1 personne
Holà y muchas gracias por el regalo superduque… Es muy simpatico. Buenas noches…
J’aimeAimé par 1 personne
Un abrazo.
J’aimeAimé par 1 personne
Je viens de découvrir votre blog. Je reviendrai m’y attarder…
J’aimeAimé par 1 personne
Bonjour, je vous remercie beaucoup pour votre petit mot et votre visite que j’espère prolongée… Je découvre le votre par la même occasion et j’en suis très heureuse. Je vous souhaite un très beau week-end.
J’aimeAimé par 1 personne
Beau week-end à vous aussi.
J’aimeAimé par 1 personne
Bonjour ou Bonsoir mon Ami, Amie
Une légende dit
Qu’il existe un paradis
On y trouve un trésor
Celui de la vraie amitié
Ce bien précieux d’amitié est une fleur
Elle est remplit de bonheur
Sent-tu ce parfum
Quelle idée originale!
Écris pour ton anniversaire.
Augurissimi Bernard, l’âge est écrit dans le registre, mais l’âge réel est celui du cœur.
Baiser
C’est celui de l’amitié qui jamais ne s’éteint
Donc je me suis dit que cette légende t’était destinée
Car en toi j’ai trouvé un ami ou une amie vraiment spéciale
Bonne journée on bonsoir
gros bisous
Bernard
J’aimeAimé par 1 personne
Bonjour Bernard et merci pour votre magnifique commentaire. Merci d’avoir semé des étoiles. J’en ai des pépites plein les yeux. Une douce journée à vous.
Avec toute mon amitié. Bises colorées
J’aimeAimé par 1 personne
BONJOUR ou BONSOIR avec Du Bonheur
Le bonheur se lit dans les cœurs
L’amour s’écrit avec toujours
La gentillesse est une caresse
L’amitié, que de la bonté
La présence source d’indulgence
La tendresse est une richesse
Que l’on a au fond de son coeur
Sachons cultiver ce bonheur
Passe une belle et agréable journée ou soirée
En ce jour qu’il soit plein de joie et de la bonne humeur
Gros bisous
Bernard
J’aimeAimé par 1 personne
Bonjour Bernard et de gros bisous http://nathou.n.a.pic.centerblog.net/rykmtavg.gif
J’aimeAimé par 1 personne
Bonjour ou bonsoir
Proverbe

L’amour doit se répandre en amitié sincère
Pour parer aux écueils jonchés par l’adversaire
Qui déverse, souvent, son poison dans nos cœurs
Nous sommes voyageurs dans un monde éphémère
Pour pouvoir l’enjamber sans beaucoup de douleurs
Faisons de l’amitié notre constant critère
Bonne journée mon Ami ou Amie
gros bisous.Bernard
J’aimeAimé par 2 personnes
Bonjour Bernard. Merci et bonne journée. Bisous
J’aimeJ’aime
« David Quayola » : onirique ! j’aime !
J’aimeAimé par 1 personne
Il est absolument fantastique!!!!
J’aimeAimé par 1 personne
Une page gourmande à tout points de vue! Beaucoup de plaisir à la lire, l’écouter, la regarder, la savourer, l’apprécier. Merci les faitsplumes pour la belle poésie de cette page, et merci de votre visite aux Belles Sources.
J’aimeAimé par 1 personne
Merci les bellessources pour votre gentil mot et la délicatesse de votre geste. J’espère vous offrir longtemps la même mélodie poétique comme vous le faites pour moi. Je vous souhaite une très belle soirée et vous dis à très vite…
J’aimeAimé par 1 personne
Merci lesfaitsplumes, très belles soirée aussi, et oui au plaisir…
J’aimeAimé par 1 personne
Bonjour ou Bonsoir mon AMI ou AMIE

Il est l’heure pour moi de te donner un bisou
Alors sans faire de bruit pour ne pas te déranger
Je vais traverser le chemin qui me mène à toi
Et je le déposerai là devant ta porte
Ce petit bisou
Je te souhaite une excellente journée ou soirée
Profite bien de celle qui est ton heure
Joie pour ta journée ou de merveilleux rêves pour ta nuit
bisous
Bernard
J’aimeAimé par 1 personne
Merci Bernard… J’ai trouvé ton bisou devant ma porte… Discret et efficace… Il a égayé ma journée… J’en depose un devant ta fenêtre pour que tu vois les étoiles ✨….
J’aimeAimé par 1 personne
Bonjour ou Bonsoir LES FAITS PLUMES
après le silence de la nuit
chaque jour renaît
avec le chant d’un oiseau joyeux
pour que nos réveils soient gais
la rosée pour rafraîchir nos pas
et le soleil au rendez-vous
moi je te souhaite une très belle journée ou soirée
Et tout ce que tu désires
Bisous, BERNARD
J’aimeAimé par 1 personne
Merci et bisous Bernard
J’aimeAimé par 1 personne
Bonjour mon Ami , AMIE
Ce jour
je regarde le ciel et je pense
je m’évade et m’envole dans le plus grand silence
voir un monde meilleur
Je rêve, je m’imagine que le bonheur est
sans challenge,ni concurrence,ni vainqueur,ni vaincu
Voir tout le monde avec le sourire
Regarder les enfants , courir , sauter , s’amuser ,
en cette période de Noel tout est beau
Aimer toujours aimer quoi de plus beau
sans le dire on peut le montrer , quel joli cadeau
Je passe te souhaiter une bonne de journée ou soirée
Gros bisous . Bernard
J’aimeAimé par 1 personne
Gros bisous Bernard 😙
J’aimeAimé par 1 personne
ne pas perdre sa plume en route… Bonne année !
J’aimeAimé par 1 personne
Non, surtout pas… Jamais ! 😉Bonne fin d’année à vous Marcel et bonne route vers cette nouvelle année que l’on imagine toute en plumes et en couleurs bien sûr 🎈
J’aimeJ’aime
Bonne année et surtout bonne santé pour toi et pour tous ceux qui te sont proches ! Bisous d’amitié. ❤
https://lewisfoxyonehome.files.wordpress.com/2018/12/Bonne-Année-4.gif
J’aimeAimé par 1 personne
Merci beaucoup Louis, meilleurs voeux pour toi et les tiens 💛💙💜💚. Je t’embrasse
J’aimeJ’aime
Bonsoir ou bonjour mon amie

Ce soir
Une nouvelle nuit vas tomber
Le sommeil va arriver
Tes yeux vont se fermer
Et comme d’habitude tu vas rêver
D’amour et d’amitié ,
Et demain tu vas t’éveiller
Sans rien te rappeler
De qui tu as rêvé
Mais tu te rappelleras
Que la veille tes amies
Sont venues te souhaiter
Une merveilleuse soirée ou bonne soirée
Sur ces lignes je te souhaite pour ce soir
Une très belle soirée et douce nuit gros bisous Bernard
J’aimeAimé par 1 personne
bisous Bernard
J’aimeAimé par 1 personne
Bonjour mon amie

C’est l’heure pour moi de passer.
Dans ton bel univers déposer un petit
Commentaire d’amitié te dire que je ne t’oublie pas
Malgré mon absence ou si peu sur le net
Si chacune de mes pensées
Se transformeraient en fleurs
Chaque jour un bouquet
Viendrait embellir ta demeure
C’ est toute la douceur de leurs parfums
Que je t’envoie!!!! rien qu’à toi.
gros bisous.Bernard
J’aimeAimé par 1 personne
Merci Bernard. Je t’embrasse 😘
J’aimeAimé par 1 personne
Bonjour mon ami(e) ou bonsoir
Une jolie cascade de Bonheur

Arrive sur ton univers
Comme une fontaine magique
Elle t’imprègne de son doux parfum
Appelé « Amitié »
Sur une rivière de tendresse
Ou tombe une pluie de bisous
Je te souhaite une bonne journée
Belle journée ou soirée
Bisous
Bernard
J’aimeJ’aime
Belle journée à toi Bernard et bisous
J’aimeAimé par 1 personne
Bonjour ou bonsoir mon amie , ami
La mélodie du cœur

Celle que l’on entend qu’une fois et qui nous transporte si loin
Au delà des nuages et au delà des paysages
La mélodie du cœur ne s’invente pas elle s’écoute
Elle est si belle
La mélodie du cœur
Elle nous transporte, fait pousser des ailes d’anges dans le dos
Qu’elle te transporte au paradis là ou tout est éternel
Que ce weekend à venir soit une explosion de bonheur avec tes proches
Bonne journée ou belle soirée
gros bisous
Bernard
J’aimeAimé par 1 personne
Merci et gros bisous Bernard 😘
J’aimeAimé par 1 personne
Bonjour ou bonsoir mon amie

Je regarde le ciel et je pense tout en m’évadant

Et je m’envole dans le plus grand silence
Voir un monde meilleur sans guerre ou tout le monde se donne la main
Voir toutes les personnes du monde ce sourire, sans aucun ne soit être déçu
Des jours à ma fenêtre
Je regarde les enfants courir,sauter,s’amuser
sans que la maladie viennent les toucher
Je regarde aussi les couples
Ou l’amour de deux personnes sans qu’elles soient jugées
ne peuvent se mentir
Aimer toujours aimer quoi de plus beau
Sans le dire on peux le démontrer par la parole ,par un cadeau autres
Sur ces mots
Je passe te souhaiter une bonne journée ou fin de soirée
Gros bisous
Bernard
J’aimeAimé par 1 personne
COUCOU
Je viens sur la pointe des pieds te déposer un café

Que ce soit après un doux réveil ou après un bon repas
Il est d’un gout
Au doux breuvage légèrement corsé et fruité
Pour bien commencer en douceur ta journée ou autre
IL réchauffera ton cœur
Sous sa douce chaleur dans ces subtils arômes
De mon café s’échappe une petite fumée aux milles et une douce saveurs parfumées
Pour un doux réveil après une douce nuit ou après une moment de repos
Que les arômes de ce doux café
Viennent en ta demeure s’évaporer
Pour y laisser ces douces notes parfumées en embaumant ta demeure
Bonne journée à toi que j’apprécie sincèrement
Que tu vives avec tes proches de délicieux moments
Bisous , Bernard
J’aimeJ’aime
Ce café était délicieux Bernard. Je t’envoie des bisous. Bon week-end.
J’aimeAimé par 1 personne
Bonjour ou bonsoir mon AMIE

voici mon petit message de ce jour
Pour embellir ta journée ou ta soirée
Où les mots ne sont que bonheur
Pour une douce journée en douceur ou une nuit de rêves
Avec tendresse et amitié
L’amitié c’ est comme l’oiseau
$i tu la laisses s’envoler
tu auras du mal à la rattraper
L’amitié est un joyau
Comme les battements du cœurs
Le bonheur, comme tous les délices
N’est entier que lorsqu’il est partagé
Je te souhaite une agréable journée OU soirée
bisous.Bernard
J’aimeAimé par 1 personne
Bon après-midi Bernard. Merci. Bisous
J’aimeJ’aime
Wouah!
J’aimeAimé par 1 personne
Impressionnant billet
J’aimeAimé par 1 personne
J’écoute l’âme des femmes et l’âme des louves….🙏
Merci pour tout 😍
La vidéo de David Gilmour n’est plus disponible….😏
J’aimeAimé par 1 personne
Merci Malyloup de m’avoir prévenue… Belle journée à toi 🎈
J’aimeJ’aime