les feuilles reliées d’un hêtre
pour seule feuille de route
je note sur mon potamot à feuilles larges
le mille-feuille peu courant de mes pensées
comme on raconte la tête penchée
vue du sol
le feuillage calme
réverbérant sans aucune résistance
sur l’eau cristalline des mares
© Les faits Plumes
Les faits Plumes 
Bonjour Delphine un très beau texte bien illustré par la photo de la fin
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Hêtre ou ne pas être saule… ?
Question fleuve, posée en-dessous, par ta feuille-de-chou.
P*tain, chuis vers… ! Tous tes vers, comme une montée de sève.
Dans mes esgourdes, la zik de tes feuilles est l’Entre-Deux-Rêves qui m’en chante, et de plus belle.
Merci Del’ Chère.
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Les feuilles pleurent toutes les larmes de leur saule, elles les paient au prix fleuve.
Chaque goutte de cœur devient une couleur et envoûte la toile qui lui rend le Monet de sa pièce.
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Oh ben si ça c’est pas beau !!!!! Merci princecranoir🌈
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Bonjour Marie… Un grand merci à toi. Grosses bises. Delphine
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En chantons nous tiniak… De grosses bises 😙
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😊
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Ping : Un cent du jour – poLétique et tocs
Correspondance en écho, bel ego…
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Écho logique 😉
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✌🤓✨
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💚💙
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😘😘😘
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