Seule, à la maison
face à ces immenses pièces
qui veulent m’avaler
sur mes trente-deux dents
mon tablier dégoulinant de Maté
et loin de toute réflexion pure
je regarde mon chat s’agiter dans tous les sens
et loin de vouloir le conseiller
je l’écarte de cet éléphant
qui un peu fou
saute un peu partout
lorsque tous les matins
vient se frotter à lui
mon cheval
qui loin des fantassins
fait le tour de la propriété
© Les faits Plumes
🩵🐈
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Excellente poésie 💖
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Pas tant pour l’éléphant (cette foi ! – en vive apesanteur), que pour le cheval…
« Et le sommier des ambulances… »
(mais il se peut que je me répétasse ou, alors… Quoi, pat ? ;p)
Pas tant, ici qui ne m’épate, mais le besoin reste palpable… De dé-lire le monde !
Voilà que se finit ma ronde avec ma chère logorrhée de mon poète préféré, JL
Tassion : aux vers suivant « Les cors, les cors, les cors… », il faut chanter jusqu’à « …s’en sont allés au vent du nord ».
https://www.poetica.fr/poeme-1140/jules-laforgue-hiver-qui-vient/
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Bravo Diane! ❤️
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Je vous remercie. Passez un joli dimanche 🦋
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Dé-lire le monde… Je retiens, ça me plait 😉
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😂😂 bisous Filipa
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Mon plaisir. Et vous aussi 💖
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