J’ai laissé les manteaux du corps se gonfler
pour épouser les formes du rayon de mon cœur
et j’ai juste laisser tomber la veste
afin que jamais cela ne s’arrête
mon corps est si étroit
pour embrasser la vie
alors je m’arrondis doucement
pour enfanter mon paysage
© Les faits Plumes

© Victor Meeussen
la maternité te va bien 🙂
la résonance de ce poème m’évoque ces quelques phrases que maman me récitait (ce qu’il fallait dire à l’époque à son z’amoureux s’il éternuait) :
– à vos souhaits belle plante
– merci fleur charmante
– je salue toutes les personnes qui se promènent sur les remparts de votre cœur
– mon cœur est si étroit qu’il ne s’y promène que vous et moi !
….
joli, n’est-ce pas ! c’était un autre siècle 😀
bisous
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Merci Hélène pour ce tendre partage mais pour ma part j’espère juste m’accoucher en meilleure sagesse 😊. Bisous
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Voilà de quoi renflouer
la barge que tu es
venue jeter sur le flot de nos pensées.
Merci beaucoup, Delphine.
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Mais avec plaisir tiniak, je t’embrasse et te souhaite une journée pleine de folie !!
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Félicitations! L’image m’a fait penser à cette oeuvre de Franz Marc https://commons.wikimedia.org/wiki/File:Marc_-_Flatternde_W%C3%A4sche_im_Wind,_1906,_G_436.jpg
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Bonjour Jane, un grand merci pour votre message. Je ne connaissais pas cette œuvre mais elle est superbe et très en communion avec la photo. Merci !!!!!
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Franz Marc est un de mes artistes préférés. Superb peintre tragiquement tué à Verdun à 36 ans je pense.
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