Les raisins secs
ça épouse les formes du corps
et ça saute sur les gosiers
en chantant « mes zig-zag »
Les raisins secs
ça longe les gorges des Vercors bavards
et ça finit dans les cavités karstiques
en cantonnant « poljé l’humeur en chantoir »
Les raisins secs
ça remonte entre les deux Rhin
et ça condamne l’antre soi
en criant » duodénum c’est pas une chimère »
Les raisins secs
ça peut venir de ces pages blanches
et ça vous secoue la bile
en gazouillant » momentum d’épiploon »
Les raisins secs
ça s’accompagne d’un petit verdot
et ça apaise ces folles blanches
alors en m’évadant
je gringotte en rigolant » j’ai un pépin aux raisins »
© Les faits Plumes

Raisons secs, mais tellement juteux ! Sera-t-il possible ? Avec ta douce poésie… bien sûr ! 🫒💚
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😊😂😊😂 merci Filipa 🥰
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c’est frais 🙂 et léger comme une envolée ❤
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Bonjour Delphine comme d’habitude joliment écrit Bisous bon après-midi MTH
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Comme une plume Hélène ? Bisous 💚
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Bonjour Marie, tu me gâtes de compliments… ça me fait du bien. MERCI. Passe un joli dimanche 💗. Bisous
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Originale l’association raisins secs et anatomie, et rigolo le verdot pour un cépage ! Ton poème ressemble à une comptine, j’aime. Moi les raisins secs je les aime bien quand ils le sont pas trop, encore charnus et gorgés de soleil ou trempés dans du rhum et nichés dans un cake, miam !
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Oui j’aime relier ce qui ne semble pas pouvoir l’être au premier abord… J’ai l’utopie de penser que rien n’est impossible car comme toi j’aime les raisins secs charnus et encore gorgés de soleil… fid’aile à eux même sans ne rien perdre de leurs saveurs. Miam ! Je croque à l’envie ! Je t’embrasse Muriel. Delphine
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