C’est sur un paon de la rivière
que j’ai braillé sur ce qui m’a déplu mais
j’ai appuyé encore plus fort sur ce bleu muet
et c’est alors qu’au-delà de toute entente
plongée dans un état de chrysalide
j’ai trouvé sur ce pan de nuit
la force psychédélique
de pousser mon cri aile de liberté
Et Io de mes larmelles
a rempli la rivière
© Les faits Plumes

quelle curieuse photo ! elle valait bien un écrit !
Un pan du paon
fait la roue et roule
dans l’eau et se saoule
et disparait dans le courant ❤
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Et ben tes mots Hélène l’illustre parfaitement bien ! Je t’en remercie et te souhaite une douce journée 😘🍁
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