La dent d’Eve a râpé mon palais
en m’en brassant sur la canopée du verger
pollinisé par des coussins fleuris
qu’égayent les arts cures textiles
et que les vers solitaires posés sur le gairidon
cristallisent
à portée de main
dans le suc de l’instant
© Les faits Plumes

Quel joli dialogue coloré et soyeux entre la poésie et la peinture !
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Merci Lazuli Biloba de votre passage et compliment 🙂 Bonne fin de journée.
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Bien joli texte et superbes peintures ! Merci 🌹🤗
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En ton palais la fleur posée se tient bien droite aux côtés du sait gn’heur, Delphine..
N-L
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😍😍, merci et beau samedi à vous Swannaelle.
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🌹
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Je fixe ainsi sur la partie féerique de l’heure corolles, l’oxygène des mots globines Alain… Delphine
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Île
Ne peut qu’en naître…
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