Quand on s’est rencontré, il me restait les dents de lait
caillé d’une vie consommée trop tôt ou trop tard
par l’enfant et l’adulte, mets laid sans saveur
Puis j’ai gouté au cœur qu’on fit en mêlant nos pépins résineux
et l’aidant que tu es, a su déminer, alizé de mon cœur
des chaussées de mon être
qui attendaient d’être dégagées par l’ héros du nouveau né
© Les faits Plumes

J’aime beaucoup le dessin. Il est de toi ?
J’aimeAimé par 1 personne
Très joli poème où se serre l’aidant.
J’aimeAimé par 1 personne
Non, je l’ai trouvé sur la toile. Comme toi je l’ai beaucoup aimé.
J’aimeJ’aime
Oui princecranoir, j’espère que l’aidant s’est toutefois pas trop serré les molaires 😉
J’aimeAimé par 1 personne
Fine écriture déliée
J’aimeAimé par 1 personne
C’est un beau compliment… Merci Sylvain d’avoir apprécié. Je vous souhaite un beau dimanche.
J’aimeJ’aime