J’avais du coffre, avant.
Un coffre que j’ai longtemps révélé qu’en de rares occasions…
Pour veiller sur mon trésor…
Un peu comme un loup parqué aux écrins réserve ses apparitions au rappel de son existence constamment menacée.
Et puis… Les spectaculaires arrangements opérationnels m’ont conduit au pépin.
Un jour, j’en ai payée la butternut !
Oui une note bien beurrée et trop salée !
C’est le sort de tous les pendents que l’on ne veut plus porter aux oreilles …
Parce que de précieux, ils deviennent disgracieux.
Alors maintenant que je me retrouve sur un plateau parce qu’il en est tel et visé…
Je crains le pour rire…
Et aussi trouille j’ai, je dois bien l’avouer, de me retrouver cantonné à des émissions conçues pour fournir un service en pot âge !
© Les faits Plumes
Que c’est joliment écrit cette plainte de cette pauvre citrouille . Bisous et bonne journée MTH
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Merci beaucoup Marie. Bises et bonne nuit.
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