Quelle drôle d’idée que celui d’écrire sur les robots, sujet auquel je ne connais, à la base, strictement rien si ce n’est à travers Astro le petit robot et Nono le robot. Quelles références me direz-vous ! Le Robot, vous l’aurez compris, était pour moi un objet de fiction animée plus qu’autre chose. J’y voyais même parfois du positif, je dois bien l’avouer. Par exemple, je me disais que le robot médical c’est quand même un sacré progrès. Pas vous ?
Bon c’est vrai j’aurais pu, avec un petit effort, choisir d’autres références quand même : Robocop, X-Men et compagnie.
Oui mais… Avais-je envie de faire cet effort, de rompre avec cette vision naïve et enfantine qui finalement me convenait bien ?
C’était jusqu’à ce matin…
Moment où j’ai ressenti, stupeurs et tremblements, dans le meilleur des monde en me rendant à la ferme des animaux… en voyant passer, juste là, sous mes yeux, des RoboBees. Plus que leur vision, c’est la douleur suite au frôlement de mon oreille par l’un d’eux (ou devrais-je dire l’une d’elles si l’on considère qu’il s’agit d’une a-b-e-i-l-l-e…) qui m’a réveillée de l’état de léthargie dans lequel je suis plongée depuis mon enfance… Si j’avais pu deviner que tout avait commencé à cette époque et qu’ Astro le petit robot allait instrumentaliser/instrumenter Maïa l’abeille et Bibifoc pour me faire croire en la beauté d’un progrès qui ne me fait plus rêver…. Je cauchemarde, j’ai moi aussi été instru-mentalisée ! Rien que ça ! A la manière du Gobe-Mouche, je me suis faite happée en vol.
J’aimerais croire que j’ai tort de m’offusquer du peu d’intérêt porté aux dommages causés aux ressources (eau, bois etc), aux espèces vivantes (du ver de terre au dauphin boto) et milieux naturels (milieux aquatiques continentaux, milieux marins, milieux terrestres etc).
J’aimerais gober que la diversité du vivant n’est pas en danger. Je ne parle pas de l’espèce humaine qui est sans doute l’une des seules espèces avec quelques singes qui flingue, elle-même, la diversité de son espèce avec parfois la couleur de peau ou la longueur du nez pour justificatif (si si apparemment…). Je parle de la diversité des gènes au sein d’une espèce grâce aux déplacements des individus qui permettent le brassage génétique, je parle de la diversité des espèces au sein d’un habitat ou écosystème, je parle de la diversité des habitats.
Bref de tout ce qui est nécessaire au vivant pour se maintenir… C’est important quand même. La vie ce n’est pas rien. Non ? Du moins je le croyais jusqu’à ce que je comprenne que finalement la perte du vivant, sa détresse ou son désarroi pouvait devenir un terrain de jeu pour génies (quel titre!) capables de créer des engins ferrailleux chargés d’effectuer une ou plusieurs tâches de manière autonome (vous pensez qu’ils peuvent rouiller ?). Je me suis trompée… Excusez-moi… Pour (eu)génies capables de se passer de tout ou pouvant s’imaginer capables de se passer de tout. Oui comment le qualifier… Une forme d’hygiénisme technologique…. Bon, nous réfléchirons plus tard au bon qualificatif…
Les scientifiques nous l’avaient bien dit que la sectorisation des disciplines scientifiques et leur étanchéité les unes vis-à-vis des autres allaient nous coûter chère. Bravo! C’est pas mieux que les ministères qui ne se causent pas! Non, croisent pas, c’est plus correct ainsi.
Bientôt, nous pourrons ainsi lire et du moins je l’écris déjà : La Philosophie soutenue par le Droit s’offusque que la Robotique soutenue par des Économistes de renom révise la Biologie sous couvert d’une évolution Sociologique des mentalités allant grandissant en raison d’un mépris pour la Littérature conditionné par un ésotérisme alimenté par les nouvelles technologies de la communication: un beau sujet de Science politique pour les futurs énarques !
En attendant, j’en reviens à mes moutons… heu mes robobees. Non, non, ce ne sont pas des machines à bisous!
Avant
Au milieu (de l’insouciance à la préparation des mentalités)
Aprés
Il y a aussi cela qui très hitchcockement me crée des sueurs froides ! Paro le phoque qui est une réponse apparemment à la solitude subie par nos parents.
Avant
Au milieu
Aprés (la seconde est cadeau….)
Je reste pour ma part persuadée qu’il n’y a rien de plus doux que la peau d’une main posée sur une autre main…
Quand on pense que le mot ROBOT vient d’une pièce de théâtre tchèque dans laquelle apparaissait un travailleur artificiel employé pour le « servage », désigné en tchèque par « robota », cela laisse dubitatif de voir jusqu’où nous sommes allés.
On se dit, quand même, qu’il n’y a pas besoin d’être un robot:
1- pour marcher sur sa tête…. et finir par tomber (il faut aller jusqu’au bout de la robidéo, c’est robogolo…)
Comme c’est si bien (lire: mal) dit, il faudra s’en contenter avant de pouvoir faire mieux
J’en reste la tête retournée mais j’ai de la chance, il me reste ma tête… Regardez autour….
2- pour avaler de la poussière…
Quand je pense que c’est la faute à Astro le petit Robot qui ne savait même pas!! Il s’est bien fait avoir lui aussi !!
Plume, alors! On va encore me dire que j’ai un problème d’adaptabilité au changement…
Tant pis, moi au moins j’ai jamais cru que Goldorak allait sauver la Terre!
Allez, je m’en vais planter un arc-en-ciel !
moi aussi j’ai cru que Goldorak allait sauver la terre…
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J’ai éclaté de rire à la fin de la vidéo ! Et j’en ri encore !
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Merci Barbara pour cet aveu 🙂 Trés beau début de soirée à vous
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Moi aussi, je ne m’y attendais pas . Jétais tombée sur plein de vidéos qui n’allaient pas avec mes propos et là, voilà que je tombe sur celle-ci 🙂 Vous pourrez la regarder à volonté mais je crois que tout est dans l’effet de surprise 🙂 et qu’elle nous fera moins rire ensuite…
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Ah oui absolument ! En plus j’ai failli couper la vidéo car ils réitéraient le même « salto-arrière » et au moment où j’allais cliquer… par-dessus bord ! 🤣
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